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mercredi 1 juin 2005

Les Naufragés de la création des micro-entreprises

Les Naufragés de la création des micro-entreprises
95% de la création d’entreprises est initié par des personnes démunies, chômeurs ou exclus.Sur 100 micro-entreprises créées, 50% disparaissent avant 5 ans.L'autre moitié survit grâce à des horaires démentiels de travail et des salaires inférieurs au SMIC. Seul 10% des entreprises ainsi créées arrivent à trouver une rémunération normale.

Ce que tout le monde sait :
Rappelons que 51 % de Français ne payent pas d'impôt, faute de revenu et que 15 millions d’entre eux (parmi lesquels les plus démunis) pensent à la création d'entreprise, soit un Français sur quatre : mais, faute de moyens, seulement 180.000 d'entre eux passent à l’acte chaque année et créent leur entreprise...Seuls les micro-projets sont alors à la portée de ces 15 millions de Français : artisanat, petit commerce, petit boulot..., ce qui crée en moyenne 1,2 emploi par projet.Les seuls financements qui leur sont accessibles sont généralement des prêts allant de 3 000 à 15 000 euros (20 000 à 100 000 francs, très exceptionnellement plus).Ces prêts, il faut bien sûr les rembourser justement au moment où l’entreprise le plus besoin de trésorerie, les deuxième et troisième années. Or, un projet ne commence à trouver son équilibre financier, dans le meilleur des cas, qu’au bout de la troisième année.Il faut donc rembourser les prêts, même lorsque l'entreprise perd encore de l'argent : on comprend pourquoi 50 % de ces micro-entreprises disparaissent avant 5 ans !
Ce que personne ne dit :
Mais personne ne dit ce qui se passe dans les 50 % des entreprises qui survivent.Parmi ces entreprises qui ont passé le cap des 5 années, beaucoup survivent à force d'efforts et de peines. Les trois-quarts de ces artisans, commerçants, chefs d'entreprises survivants ont des journées de 10-12 heures, 6 à 7 jours par semaine pour gagner moins que le SMIC.
Un bilan :
Sur 100 micro-projets, 10 à 15 auront peut-être réussi à obtenir un résultat positif et permettront à leurs créateurs de vivre décemment.Reste 85 % à 90 % qui resteront des naufragés de la création de micro-projets d'entreprises.Les 15 millions de Français ne se lanceront donc pas dans la création d'une entreprise parce qu'ils auront connaissance autour d’eux quelqu’un qui s’est retrouvé dans cette situation.Les échecs et le découragement de nombreux créateurs arrêtent les ardeurs créatives.
Une solution existe pour les entreprises traditionnelles : le concept Love money pour l'Emploi
Cette solution inédite à ce jour, se différencie des aides à la création d'entreprise traditionnelles par le fait que les sommes reçues n'ont pas à être remboursées. Ce sont des fonds propres.
Cliquez ici pour en savoir plus sur les profils des projets accompagnés
Fédération des associations Love money pour l'EmploiEnregistrée à la Préfecture de Police de Paris sous le numéro d'ordre 97 / 2402Siège : 10, rue Montyon 75009 Paris Tél. : 01 48 00 03 35 Fax : 01 48 24 10 89 Mail : federation@love-money.org Associations Love money pour l’Emploi à : Bordeaux (33), Caen (14), Cagnes-sur-Mer (06), Champigny-sur-Marne (94), Fort-de-France (97), Lagny-sur-Marne (77), Montpellier(34), Neuilly-sur-Marne (93), Neuilly-sur-Seine (92), Paris (75), Reims (51), Rennes (35), Ris-Orangis (91)Associations en recherche de correspondants, bénévoles (avec mise en place de "webcam") : Amiens (80), Beaune (21), Donzère (26), Fontenay-le-Comte (85), Montrond-les-Bains (42), Poitiers (86), Rodez (12), Saint-Germain-en-Laye (78)

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